Barytons

Rigoletto (George Petean) a exigé de savoir où se trouvait Gilda après son enlèvement par les courtisans. Ils se moquent de lui, croyant qu'elle est sa maîtresse. Rigoletto dit aux courtisans que Gilda est en fait sa fille et les supplie de le laisser la voir.

Dario Solari (Iago) interprète « Credo in un Dio crudel » de l'opéra Otello de Verdi à Poznań Opera.

Honteux et repentant, le Comte (Duncan Rock) implore le pardon de la Comtesse (Kirsten MacKinnon) pour avoir tenté de séduire Susanna. Meilleure que lui ("Più docile io sono"), la Comtesse le pardonne et tout le monde est satisfait : l’opéra s’achève par une célébration universelle.

Le comte di Luna (Ludovic Tézier) apprend que Leonora a décidé d'entrer au couvent après la nouvelle que son amour Manrico, était mort au combat. Mais le comte aime aussi Leonora et l'annonce au monde entier en attendant à l'extérieur du couvent le bon moment pour la kidnapper. Dirigé par Maurizio Benini et dirigé par Francisco Negrín.

La Monnaie / De Munt présente Henry VIII, de Camille Saint-Saëns, dans une production dirigée par Alain Altinoglu et mise en scène par Olivier Py. L'opéra raconte l'histoire du deuxième monarque de la Maison Tudor, marié six fois et exerçant le pouvoir le plus absolu de tous les rois anglais. Henri VIII (Lionel Lhote) révèle ici la faiblesse d'un monarque amoureux, déterminé à faire d'Anne Boleyn sa seconde épouse, quel que soit l'avis de Rome.

Papageno (Jonathan McGovern) peut à peine en croire ses yeux lorsqu'il est réunit avec sa partenaire idéale, Papagena (Lara Marie Müller). Tous deux sont ravis et impatient de fonder une famille pleine de petits Papagenos et Papagenas. 

Scarpia (Roberto Frontali) envoie l'agent de police Spoletta (Saverio Fiore) suivre Tosca. Alors que l'Eglise célèbre la défaite apparente de Napoléon avec un Te Deum, le chef de la police met à bien son plan pour avoir Tosca à lui seul.

Acte I. Figaro (Rodion Pogossov), ancien serviteur du comte et désormais barbier à Séville, entre en scène en se réjouissant de sa profession. Dirigé par José Miguel Pérez-Sierra et mis en scène par Fabio Sparvoli.

Don Giovanni (Mariusz Kwiecień) organise une soirée, pendant laquelle il chante la  « Champagne aria ». Cette aria est une des plus courtes des opéras de Mozart, elle dure deux minutes mais permet de rapidement cerner le personnage : son goût pour les festivités, sa volonté de séduire et son énergie inépuisable.

Enrico (Artur Rucinski) est furieux que sa sœur Lucia ait eu un rendez-vous romantique en secret avec l'ennemi de la famille. Il se sent trahi. Dirigé par Daniel Oren et mis en scène par David Alden.

Acte II. Marietta (Sara Jakubiak) propose à sa troupe de porter un toast avant de demander à Fritz (Günter Papendell) de chanter une chanson. Il choisit Pierrot’s Tanzlied, qui raconte l'histoire d'un clown dançant au clair de lune avec sa bien aimée - un simple bonheur aujourd'hui perdu pour toujours. Une magnifique aria de baryton, qui est aussi une des plus difficiles du répertoire.

Paul Carey Jones (Der Wanderer, ou le Voyageur) chante « Wache, Wala ! Wala ! Erwach ! » - Acte III Scène I de Siegfried au Longborough Festival Opera.

Le baryton Juan Jesús Rodríguez interprète « Di Provenza il mar, il suol » de l'opéra La traviata de Verdi au Teatro Real dirigé par Renato Palumbo et mis en scène par David McVicar.